Sujet et corrigé Philosophie – Bac STI2D

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L'épreuve de philo du Bac STI2D a eu lieu mercredi 14 juin. Retrouvez dès maintenant le sujet et le corrigé en ligne ! Les sujets et les propositions de corrigés des années précédentes sont aussi disponibles.

Retrouvez le sujet de l’épreuve de Philosophie du Bac STI2D 2023

Retrouvez le corrigé de l’épreuve de Philosophie du Bac STI2D 2023

Retrouvez le sujet de l'épreuve de Philosophie du Bac STI2D 2022

Extrait du sujet : Sujet 1
La liberté consiste-t-elle à n'obéir à personne ? Sujet 2
Est-il juste de défendre ses droits par tous les moyens ? Sujet 3
Expliquer le texte suivant  :
Si je pouvais m'assurer qu'un témoin a bien vu, et qu'il a voulu me dire vrai, son témoignage pour moi deviendrait infaillible : ce n'est qu'à proportion des degrés de cette double assurance que croît ma persuasion ; elle ne s'élèvera jamais jusqu'à une pleine démonstration, tant que le témoignage sera unique, et que je considèrerai le témoin en particulier ; parce que quelques connaissances que j'ai du cœur humain, je ne le connaîtrai jamais assez parfaitement pour en deviner les divers caprices, et tous les ressorts mystérieux qui le font mouvoir... Retrouvez l'intégralité du sujet ci-dessous :

Retrouvez le corrigé de l'épreuve de Philosophie du Bac STI2D 2022

Extrait du corrigé : Sujet 1 : La liberté consiste-t-elle à n'obéir à personne ? Introduction
Qu'obéissance et liberté s'opposent, voilà qui semble de simple bon sens. Obéir, c'est ne pas faire que l'on veut, ce qu'on désire, ce qui nous plaît. Si la liberté est le contraire de l'obéissance, la véritable liberté consiste à l'obéir à personne. Cependant l'homme ne peut vivre qu'en société, subissant les contraintes de la vie sociale, le commandement de ceux qui ont le pouvoir de commander et les lois de ceux qui ont établi les lois. Dès que nous acceptons la vie commune — et comment pourrions-nous faire autrement ? — nous acceptons de renoncer à notre liberté naturelle pour garantir la protection de notre sécurité ou, tout simplement pour éviter les sanctions qui ne manquent de frapper les désobéissants. Comment sortir de cette antinomie ? Devons-nous vraiment renoncer à la liberté ?... Retrouvez l'intégralité du corrigé ci-dessous :

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Extrait du sujet Sujet 1 : Est-il toujours injuste de désobéir aux lois ?
Sujet 2 : Savoir, est-ce ne rien croire ?
Sujet 3 : La technique nous libère-t-elle de la nature ?
Sujet 4 :Expliquez le texte suivant : Si au moins nous pouvions découvrir chez nous ou chez nos semblables une activité apparentée d'une manière ou d'une autre à ce que fait le poète ! L'investigation de celle-ci nous permettrait d'espérer acquérir un premier éclaircissement sur l'activité créatrice du poète. Et effectivement, une telle perspective existe – les poètes eux-mêmes d'ailleurs aiment à réduire l'écart entre leur particularité et l'essence humaine en général ; ils nous assurent si fréquemment qu'en tout homme se cache un poète et que le dernier poète ne mourra qu'avec le dernier homme. Ne devrions-nous pas chercher déjà chez l'enfant les premières traces d'une activité poétique ? L'occupation la plus chère et la plus intense de l'enfant est le jeu. Peut-être sommes-nous en droit de dire : tout enfant qui joue se comporte comme un poète en tant qu'il se crée son propre monde ou, pour parler plus exactement, transporte les choses de son monde dans un ordre nouveau à sa convenance.

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Extrait du corrigé
SUJET 1 : est-il toujours injuste de désobéir aux lois En préliminaire il nous faut définir le concept de Loi. Du latin lex, « loi », c'est la « règle ». En philosophie, ce terme a deux usages majeurs :

  • pratique, où elle équivaut à la notion de règle,
  • et scientifique, où elle relève de la nécessité. En droit, la loi émane du pouvoir politique, et plus particulièrement, en démocratie après le pouvoir absolu, du pouvoir législatif où elle est débattue à l'assemblée. Elle prescrit ou interdit au nom du bien commun. Idéalement, la légalité se fonde sur la « loi naturelle », c'est-à-dire sur ce qui est légitime, rationnellement juste. Mais Montesquieu montre que l'esprit des lois dépend davantage des coutumes, du climat… En morale, la loi, d'abord perçue comme d'origine divine (ce dont témoigne le Décalogue, ensemble de dix préceptes donnés par Dieu à Moïse), s'apparente à un impératif que notre conscience nous demande de respecter. Produit de la raison pour Kant, de la nature pour Kant elle est une perversion de l'éducation pour Nietzsche. En science, la loi désigne un rapport invariable entre deux ou plusieurs phénomènes. Elle s'applique aussi bien à la matière (physique et chimie), qu'à la vie (biologie) ou à l'homme (sciences humaines), y compris dans ses créations désintéressées (l'esthétique a aussi ses normes)mais la question, ici, ne va pas jusque là.La loi sociétale est pour l'homme l'une des conditions de sa survie et de son bien-être. Mais les lois sont différentes, contestées, le simple fait de les voter nous montre une nature intrinsèque de discussion. Alors il est utile de réfléchir à la légitimité de refuser la légalité ! Ce qui induit une conception d'injustice mais cette dernière est elle subjective ou vraiment contre le bon sens ? L'Histoire est riche de moments ou la désobéissance a modifié notre société et bien-être (révoltes sociales, mouvements féministes, etc...) Dans ces cas sur quelles philosophies se baser ? Se justifier de l'injustice ? Il y va de l'éducation ; obéir ou savoir désobéir ?

    ANCIENS SUJETS ET CORRIGES 2019, 2018, 2017, 2016, 2015, 2014

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    Extrait du sujet Sujet 1 :
    Seul ce qui peut s'échanger a-t-il de la valeur ? Sujet 2 :
    Les lois peuvent-elles faire notre bonheur ? Sujet 3 :
    Le fait qu'on ne voit aucune thèse qui ne soit débattue et controversée1 entre nous, ou qui ne puisse l'être, montre bien que notre jugement naturel ne saisit pas bien clairement ce qu'il saisit, car mon jugement ne peut pas le faire admettre par le jugement de mon semblable : ce qui est le signe que je l'ai saisi par quelque autre moyen que par un pouvoir naturel qui serait en moi et en tous les hommes. Laissons de côté cette confusion infinie d'opinions que l'on voit parmi les philosophes eux-mêmes, et ce débat perpétuel et général sur la connaissance des choses. On a tout à fait raison, en effet, d'admettre que sur aucune chose les hommes – je veux dire les savants les mieux nés, les plus capables – ne sont d'accord, pas même sur le fait que le ciel est sur notre tête, car ceux qui doutent de tout doutent aussi de cela ; et ceux qui nient que nous puissions comprendre quelque chose disent que nous n'avons pas compris que le ciel est sur notre tête ; et ces deux opinions sont, par le nombre, incomparablement les plus fortes. Outre cette diversité et cette division infinies, par le trouble que notre jugement nous donne à nous-mêmes et par l'incertitude que chacun sent en lui, il est aisé de voir que ce jugement a son assise2 bien mal assurée. Comme nous jugeons différemment des choses ! Combien de fois changeons-nous d'opinions !....
    MONTAIGNE, Les Essais (1580)

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    Retrouvez le sujet de Philosophie du Bac Techno 2018

    Extrait du sujet :
    Sujet 1 : L'expérience peut-elle être trompeuse ?

    Sujet 2 : Peut-on maîtriser le développement technique ?

    Sujet 3 :
    Il est vrai que, dans les démocraties, le peuple paraît faire ce qu'il veut : mais la liberté politique ne consiste point à faire ce que l'on veut. Dans un Etat, c'est-à-dire dans une société où il y a des lois, la liberté ne peut consister qu'à pouvoir faire ce que l'on doit vouloir, et à n'être point contraint de faire ce que l'on ne doit pas vouloir. Il faut se mettre dans l'esprit ce que c'est que l'indépendance, et ce que c'est que la liberté. La liberté est le droit de faire tout ce que les lois permettent : et, si un citoyen pouvait faire ce qu'elles défendent, il n'aurait plus de liberté, parce que les autres auraient ce même pouvoir.
    MONTESQUIEU, De l'Esprit des lois (1748)

    Pour expliquer ce texte, vous répondrez aux questions suivantes, qui sont destinés principalement à guider votre réaction. Elles ne sont pas indépendantes les unes des autres et demandent que le texte soit d'abord étudié dans son ensemble.
    1. Dégager l'idée principale du texte et les étapes du raisonnement.

    2. Expliquer :
    a) « Dans les démocratiques, le peuple paraît faire ce qu'il veut » ;
    b) « La liberté ne peut consister qu'à pouvoir faire ce que l'on doit vouloir » ;
    c) Que signifie « l'indépendance » dans le texte ?

    3. Les lois sont-elles nécessaires à la liberté ?  

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    Extrait du corrigé :

    Sujet 1 : L'expérience peut-elle être trompeuse ?

    L'expérience a plusieurs définitions : Selon l'étymologie latine, le terme signifie « faire l'épreuve de ». L'expérience sensible est la somme d'informations données par les sens. L'expérience relève aussi du vécu, d'un apprentissage. L'expérience désigne enfin l'expérimentation désignant un ensemble de procédés permettant d'élaborer une loi scientifique. S'interroger sur la possibilité que l'expérience nous trompe, c'est envisager que nous avons été victimes de l'expérience. Nous avions confiance en l'expérience et elle nous a trompés. Comment l'expérience peut-être être trompeuse alors que nous tirons nous-mêmes des leçons de l'expérience ?

    L'expérience sensible peut être trompeuse
    Nous ne pouvons douter des informations des sens que sont la vue, l'ouïe, l'odorat, le toucher. Ils sont des intermédiaires indispensables pour connaître le réel. Comme l'explique le philosophe Hume, l'expérience sensible est le fondement des connaissances. Selon cet auteur, les idées sont des copies de nos impressions c'est-à-dire ce que nous ressentons, voyons… Or cette conception suppose que les sens sont fiables. L'expérience justement nous apprend que les sens ne sont pas toujours fiables. Descartes dans Discours de la méthode donne plusieurs exemples : le soleil paraît à quelques mètres, un bâton plongé dans l'eau parait cassé. Parfois même, nous croyons que l'objet existe or il s'agit d'une illusion d'optique. Que pouvons-nous déduire ? Dire que l'expérience est trompeuse signifierait qu'elle fait des erreurs ou qu'elle souhaite nous tromper. Cette personnification est inappropriée. Ce sont nous-mêmes qui avons une confiance abusive dans les sens. Ce n'est pas l'expérience qui est trompeuse mais nous- mêmes qui nous trompons. Comment ne pas se tromper ?

    Retrouvez le sujet de Philosophie du Bac STI2D 2017

    Extrait du sujet :
  • Sujet 1 :
    Y a-t-il un mauvais usage de la raison ?
  • Sujet 2 :
    Pour trouver le bonheur, faut-il le rechercher ?
  • Sujet 3 :
    On voit à quoi se réduirait l'homme, si l'on en retirait tout ce qu'il tient de la société : il tomberait au rang de l'animal. S'il a pu dépasser le stade auquel les animaux se sont arrêtés, c'est d'abord qu'il n'est pas réduit au seul fruit de ses efforts personnels, mais coopère régulièrement avec ses semblables ; ce qui renforce le rendement de l'activité de chacun. C'est ensuite et surtout que les produits du travail d'une génération ne sont pas perdus pour celle qui suit. De ce qu'un animal a pu apprendre au cours de son existence individuelle, presque rien ne peut lui survivre. Au contraire, les résultats de l'expérience humaine se conservent presque intégralement et jusque dans le détail, grâce aux livres, aux monuments figurés, aux outils, aux instruments de toute sorte qui se transmettent de génération en génération, à la tradition orale, etc. Le sol de la nature se recouvre ainsi d'une riche alluvion1 qui va sans cesse en croissant. Au lieu de se dissiper toutes les fois qu'une génération s'éteint et est remplacée par une autre, la sagesse humaine s'accumule sans terme, et c'est cette accumulation indéfinie qui élève l'homme au-dessus de la bête et au-dessus de lui-même. Mais, tout comme la coopération dont il était d'abord question, cette accumulation n'est possible que dans et par la société. DURKHEIM, Education et sociologie (1922)

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    Extrait du corrigé :
    Sujet 1 : Y a-t-il un mauvais usage de la raison ?
    Analyse de l'intitulé : « La raison » est le bon sens, la faculté de produire des raisonnements c'est-à-dire l'articulation entre les propositions. La raison a plusieurs fonctions comme connaître le réel ou produire un objet ou encore agir. L' « usage » est l'utilisation. L'intitulé se demande si on peut mal employer la faculté propre de l'homme. La problématique est la suivante : comment peut-il y avoir un mauvais usage de la raison alors qu'elle est la faculté propre de l'homme ? S'il y a un mauvais usage, comment le savoir ? Comment la raison peutelle s'évaluer elle-même ? Plan possible :
    1. Le devoir d'user de la raison
    A) L'homme est d'une nature différente par rapport aux autres êtres vivants. Il doit user de sa raison pour connaître le réel, pour produire et pour agir. Au contraire, les autres êtres vivants ont des comportements naturels régis par l'instinct. B) Or l'homme peut refuser de ne pas user de la raison.
    Il peut refuser de connaître le réel, de produire et d'agir. Ce n'est pas un mauvais usage de la raison mais de la volonté. Dans Qu'est-ce que les Lumières ? Kant explique les défauts de l'homme que sont la paresse et la lâcheté. Transition : Si l'homme a la volonté de se servir de la raison, est-il assuré de réussir à mener à bien ses projets ?
    2. Un possible mauvais usage de la raison A) L'homme ne peut pas se passer de règles pour connaître, pour produire et pour agir. Il doit avoir une méthode. Descartes dans Discours de la méthode donne des règles simples : ne recevoir pour vrai que ce qui se présenterait de manière claire et distincte, diviser les difficultés, conduire par ordre les pensées et faire dénombrement.
    B) Par conséquent, l'usage de la raison ne peut se faire sans règles ni seul. L'homme a besoin d'un guide pour mener à bien ses projets. Le guide peut être le philosophe par ses écrits, le savant pour la production. Le dialogue est aussi indispensable comme nous le montre les dialogues de Socrate. La confrontation avec l'autre permet de nous rendre compte de nos erreurs. NB : ce corrigé vous est proposé par Studyrama. Il s'agit d'une proposition de corrigé qui ne saurait tenir lieu de corrigé officiel. Toute reproduction sans accord est strictement interdite.

    Retrouvez le sujet de Philosophie du Bac STI2D 2016

    Sujet 1 : Pour être juste, suffit-il d'obéir aux lois ?
    Sujet 2 : Pouvons-nous toujours justifier nos croyances ?
    Explication de texte concerne un texte de MERLEAU-PONTY, Causeries (1948) : Même quand les peintres travaillent sur des objets réels, leur but n'est jamais d'évoquer l'objet même, mais de fabriquer sur la toile un spectacle qui se suffit. La distinction souvent faite entre le sujet du tableau et la manière du peintre n'est pas légitime parce que..."

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    Extrait du sujet Sujet 1 : Pour être juste, suffit-il d'obéir aux lois ? Juste est une qualité morale qui signifie assurer une égalité entre les hommes. Obéir aux lois signifie se soumettre aux normes qui régissent la vie en société. On peut distinguer les lois relevant du droit positif c'est-à-dire institué par les hommes et les lois non instituées par les hommes comme les lois relevant du droit naturel ou les lois religieuses. L'intitulé pose un but : être juste. L'intitulé affirme une condition : obéir aux lois. L'intitulé s'interroge sur cette condition : est-elle suffisante ou pas ?. NB : ce corrigé est édité par Studyrama. Il s'agit d'une proposition de corrigé qui ne saurait tenir lieu de corrigé officiel. Toute reproduction sans accord est strictement interdite.

    Retrouvez le sujet de Philosophie du Bac STI2D 2015

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    Sujet BAc STI2D Philosophie 2015

    Extrait du sujet 2015

    Sujet 1 :
    La culture fait-elle l'homme ?
    Sujet 2 :
    Peut-on être heureux sans être libre ?
    Sujet 3 :
    La règle par où nous nous conduisons communément en nos raisonnements, est que les objets dont nous n'avons pas l'expérience ressemblent à ceux dont nous l'avons ; que ce que nous avons vu être le plus ordinaire est toujours le plus probable ; et que, lorsqu'il y a opposition des arguments, nous devons donner la préférence à ceux qui se fondent sur le plus grand nombre d'observations passées. Mais quoique, en procédant selon cette règle, nous rejetions promptement tout fait insolite et incroyable à un degré ordinaire, pourtant, en avançant davantage, l'esprit n'observe pas toujours la même règle : lorsque quelque chose est affirmé de suprêmement absurde et miraculeux, il admet d'autant plus promptement un tel fait, en raison de la circonstance même qui devrait en détruire l'autorité. La passion de surprise et d'émerveillement qui produit des miracles, étant une agréable émotion, produit une tendance sensible à croire aux événements d'où elle dérive
    HUME, Enquête sur l'entendement humain (1748)

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    Extrait du corrigé 2015

    Sujet : La culture fait-elle l'homme ?

    Analyse du sujet :
     
  • Le terme de culture vient du latin « colere », mettre en valeur. Par extension, ce terme a plusieurs sens. Il désigne tout ce par quoi la nature humaine s'élève au-dessus de l'animalité et de la nature et tout ce qui, dans le milieu, est dû à l'homme. Ce sens concerne l'humanité entière.
     
  • Sens anthropologique (l'anthropologie est la science de l'homme.). On parle d'une culture pour désigner la manière déterminée dont une population donnée s'élève au-dessus de la nature. Ce terme renvoie à la diversité des groupes humains. La culture d'une société donnée inclut la totalité des coutumes, des lois, des croyances, des techniques, les formes d'art, le langage, la pensée. (sens anthropologique)
     
  • La culture au sens restreint est également une norme d'éducation, un savoir, des goûts, une fréquentation des oeuvres, un savoir-vivre.

    Faire l'homme signifie constitue l'homme.
    Problématique : Comment la culture c'est-à-dire ce qui est institué par l'homme peut-t-elle être à l'origine de celui-ci ? (...)

    NB : ce corrigé vous est proposé par Studyrama. Il s'agit d'une proposition de corrigé qui ne saurait tenir lieu de corrigé officiel. Toute reproduction sans accord est strictement interdite.

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    Extrait du sujet :
    > 1er sujet : Les échanges sont-ils toujours intéressés ?
    > 2ème sujet: Une vérité peut-elle être définitive ?
    > 3eme sujet: Texte : PLATON, Gorgias (autour de 387 av. J.-C.)

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    Nous avons demandé à un correcteur de plancher en même temps que vous sur le sujet et de vous donner ses éléments de réponse, pour vous permettre de les comparer avec votre copie. Extrait :
    Les échanges sont-ils toujours intéressés ?
    Ce sujet demandait une réflexion sur la nature de l'échange et sur les liens que celui-ci entretient avec le don désintéressé ainsi qu'avec l'intérêt. En effet il demande ce qu'est la raison d'être des échanges et pourquoi nous échangeons. Les échanges sont présents dans nos vies et à de nombreux niveaux : la famille, l'économie, l'amitié, etc. Il faut donc traiter l'ensemble de ces échanges pour voir ce qu'ils peuvent avoir en commun ou au contraire ce qui peut les distinguer les uns des autres. Ce sujet pose problème notamment parce qu'il porte sur un « toujours », il interroge donc sur une forme d'éternel de l'échange qu'il s'agirait de découvrir voire de mettre en évidence si cela est envisageable. Pour répondre, plusieurs pistes sont possibles et aucun auteur n'est requis en particulier. Cependant, l'épreuve est également une épreuve de culture générale philosophique qui suppose mobilisation de quelques textes canoniques qui ont, en principe, été étudiés en classe. Dans une première partie, il était peut-être possible de faire une distinction entre l'échange et le don. Échanger c'est à la fois donner et recevoir de manière dédoublée : donner à l'autre et recevoir de lui un autre don qui suppose lui-même réception de sa part. En d'autres termes lorsque j'échange un objet contre de l'argent, je donne l'objet et je reçois l'argent et l'autre, me donne de l'argent et il reçoit l'objet.     Attention toutefois, il s'agit bien d'une proposition de corrigé et pas d'un corrigé officiel...

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    Italien LV2 : Sujet - Corrigé
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